Semestre positif pour l’emploi dans les startups : les chiffres sont là

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Alors que les regards se tournent souvent vers les levées de fonds pour mesurer la santé des startups, le baromètre de l’emploi Numeum X Motherbase rappelle qu’un autre indicateur, tout aussi essentiel, continue d’envoyer des signaux positifs : l’emploi. Regardons les chiffres de plus près.

Au premier semestre 2025, les startups françaises ont enregistré une hausse nette de +4,6 % de leurs effectifs, contre +4 % sur la même période en 2024. Une progression qui témoigne de la résilience de l’écosystème, malgré un contexte de financement difficile.

Des chiffres clés qui redonnent le sourire

• +4,6 % d’emplois créés entre janvier et juin 2025
• 35 % des startups stables : ni recrutement ni réduction d’effectifs
• 43 % de ralentissement des créations mais aussi 33 % de ralentissement des suppressions
• 4 % des startups particulièrement dynamiques, avec plus de 10 postes créés en six mois
• Si deux tiers des nouveaux emplois en Île-de-France, ce sont bien toutes les régions de la France hexagonale ont généré des emplois

Les secteurs en mouvement : le numérique en tête

Si la GreenTech restait historiquement le moteur principal de l’emploi, c’est désormais le numérique (IT services) qui domine le classement, avec presque deux fois plus d’emplois créés que la GreenTech. L’industrie complète le podium.

Une étude largement reprise par les médias

Ce baromètre, réalisé par Numeum en partenariat avec Motherbase, s’appuie sur une méthodologie unique qui croise données IA et suivi des trajectoires de plus de 15 000 startups françaises.
Sa pertinence a été reconnue : l’étude a été reprise par de nombreux médias, dont Les Echos, qui titraient récemment que « l’emploi reste dans le vert malgré la crise de financement ».

Un signal encourageant pour la French Tech

Ce premier bilan semestriel 2025 montre que, malgré les incertitudes, les startups continuent de consolider leurs équipes et de préparer l’avenir.

Le second semestre sera observé de près, car historiquement moins dynamique. Rendez-vous à la rentrée pour le prochain baromètre.

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